XVIIIè siècle
Schiste et pierre
Place de l'Eglise
Ancien presbytère, ce bâtiment sert de salle de classe pendant la seconde guerre mondiale, puis de bureau de poste dans les années 1960.
De plan rectangulaire, le corps principal présente en façade une symétrie rigoureuse. les ouvertures sont soulignées par des piédroits
Vers la fin du XVIIIè siècle
Pierre
Chemin de la butte
Les deux coeurs superposés à la base de cette petite croix, dressée sur les hauteurs sont peut-être un témoignage de la lutte insurrectionnelle royaliste menée par les Chouans à la fin du XVIIIè siècle.
XIXe siècle
7, Grande rue
Jusqu'en 1986 les habitants d'Amayé se retrouvent à quelques pas de l'église dans cette bâtisse, autrefois épicerie et café du village.
XIXè et XXè siècles
3 rue St Lambert
Aujourd'hui bâtiment communal, la maison des tilleuls abritait la mairie et l'école du village. La salle de classe se trouve au rez-de chaussée, un escalier conduit à l'étage au logement de l'instituteur et aux services municipaux. L'ensemble est prolongé d'une cour qui mène à l'actuel lavoir et à laquelle on accède par une porte.
XXè siècle
Le Coudray
Les nombreux noisetiers qui bordent l'Orne sur la route qui mène au viaduc du val de Maizet à Amayé sont à l'origine du nom de lieu-dit "Le Coudray". Au moyen âge, le passage assuré par un bac propriété de la seigneurie de Douvres est fréquemment emprunté par les marchands de bestiaux. De l'ancien pont ne demeureraient que les fondations, immergées. Le pont actuel, point stratégique lors des affrontements de juin 1944, en partie détruit, est reconsolidé.
A partir du XIIIè siècle
Le choeur d'architecture ogivale primitive, est éclairé d'ouvertures en lancette encadrées par des colonnettes. Le mur latéral sud est percé d'une large baie à trois pans ornée de motifs floraux. La nef, qui comporte des pans de maçonnerie d'époque romane, présente des corniches décorées d'un thème en dents de scie.
Fin du XIXè siècle
Pour protéger du pacage, une ordonnance de Charles VII impose la plantation d'ifs aux abords des cimetières. A l'écorce et au feuillage toxique, symbole de mort, l'if, par sa longévité et son feuillage permanent associe le symbole de l'immortalité.
XVIIIè siècle
Bien ecclésiastique, le château de Vaux sert longtemps de maison de retraite à des membres du clergé est mis en vente et racheté par des particuliers. Sur décision de l'évêché la chapelle du Sacré-Coeur se trouve alors près du.......